Je ressens une profonde envie d’évasion,
Ô furieux vent, emporte moi dans ton sillon !
Afin que seule ta fine brise me berce,
M’enchante de tes extraordinaires prouesses.
Les saveurs de la vie me sont toujours amères,
Chaque lueur de bonheur me semble éphémère,
Je désire m’éclipser de ce noir décor,
Ne plus être l’instrument de ce triste sort.
Quand goûterai-je à l’alcool empli d’allégresse ?
Au bonheur dont les joies nous plongent dans l’ivresse ?
Je souffre toujours du malheur, de sa noirceur,
Je suis animé d’une profonde rancœur,
Mon démon s’est éveillé et me tyrannise,
Mes sentiments sont depuis peu sous son emprise,
Sa sanglante colère coule dans mes veines,
Et m’ordonne de la libérer de ses chaînes.
Je lutte pour toujours la garder prisonnière,
Pour que du jour elle ne voit pas la lumière.
Je m’épuise, mes lueurs deviennent obscures,
Ne supportent plus cette incessante torture.
Ce n’est pas le premier combat contre mon être
Que je mène pour que succombe mon mal-être.
J’ai déjà été assailli par des angoisses,
J’ai vaillamment lutté, prié qu’elles trépassent.
Je me perds dans les dédales de mon esprit,
Mes pensées me poignardent et noircissent ma vie,
Je me sens oppressé dans le grand labyrinthe
De mes neurones qui me trempe dans la crainte.
Parfois je voudrais errer dans la solitude,
J’imagine que ces douleurs sont le prélude
D’une vie joyeuse baignée dans le bonheur,
Dont le goût parfumé attise mes ardeurs.
Mais aujourd’hui je ne comprends pas mon destin,
Qui sait si la vie me nourrira en son sein ?
Qui sait si la vie m’offrira un rêve bleu
Où la lumière brille et où l’euphorie pleut ?
Ô furieux vent, emporte moi dans ton sillon !
Afin que seule ta fine brise me berce,
M’enchante de tes extraordinaires prouesses.
Les saveurs de la vie me sont toujours amères,
Chaque lueur de bonheur me semble éphémère,
Je désire m’éclipser de ce noir décor,
Ne plus être l’instrument de ce triste sort.
Quand goûterai-je à l’alcool empli d’allégresse ?
Au bonheur dont les joies nous plongent dans l’ivresse ?
Je souffre toujours du malheur, de sa noirceur,
Je suis animé d’une profonde rancœur,
Mon démon s’est éveillé et me tyrannise,
Mes sentiments sont depuis peu sous son emprise,
Sa sanglante colère coule dans mes veines,
Et m’ordonne de la libérer de ses chaînes.
Je lutte pour toujours la garder prisonnière,
Pour que du jour elle ne voit pas la lumière.
Je m’épuise, mes lueurs deviennent obscures,
Ne supportent plus cette incessante torture.
Ce n’est pas le premier combat contre mon être
Que je mène pour que succombe mon mal-être.
J’ai déjà été assailli par des angoisses,
J’ai vaillamment lutté, prié qu’elles trépassent.
Je me perds dans les dédales de mon esprit,
Mes pensées me poignardent et noircissent ma vie,
Je me sens oppressé dans le grand labyrinthe
De mes neurones qui me trempe dans la crainte.
Parfois je voudrais errer dans la solitude,
J’imagine que ces douleurs sont le prélude
D’une vie joyeuse baignée dans le bonheur,
Dont le goût parfumé attise mes ardeurs.
Mais aujourd’hui je ne comprends pas mon destin,
Qui sait si la vie me nourrira en son sein ?
Qui sait si la vie m’offrira un rêve bleu
Où la lumière brille et où l’euphorie pleut ?